Présentation d' une journée au club

Voici une présentation des activités des membres du club.

18 Juin 1797, au large du Ferrol à bord du Naïad 38,

My Lord,
Alors que nous croisions au large du Ferrol, la vigie nous signalait  5 voiles sortant du port tentant de forcer notre blocus. Immédiatement j’ai fait forces voiles suivi du Trent 38, Mermaid 32 et Jason 32 pour intercepter cette escadre malgré notre infériorité numérique.
Bientôt, nous pûmes reconnaître  les navires ennemis Astrolabio 40,  Atocha 40, Cornelia 40, Fuerte 24 et Zafira 24 et constater qu’ils essayaient de nous distancer. Malgré un nombre de bouches à feu inférieur (140 contre 168) je poursuivis la chasse et en fin d’après-midi nos canons étaient enfin à portée. La bataille fit rage pendant plusieurs heures, un abordage de la Trent sur la Zafira particulièrement sanglant laissa les deux équipages épuisés et la Zafira dût rompre l’engagement.
Nos navires ont subi des dommages mais notre mission a été accomplie, les 5 navires espagnols durement touchés se réfugiant dans leur port à la faveur de la nuit tombante. L’Espagnol reste donc bloqué dans son port et sera dissuadé de faire sortir d’autres navires plus importants. 
Je désire instamment attirer l’attention de Votre Seigneurie sur le fait que nous n’avons perdu aucun navire, ce qui est conforme aux vœux de l’Amirauté en manque cruel de frégates,  et que nous continuons après quelques réparations de fortune à maintenir le blocus du Ferrol… 
Commodore Camps

17 juin 2017 : Une partie de ManOWar

Voici le contre rendu de la bataille navale qui c'est déroulé au large du port du Ferrol le 17 juin 1797 et qui a opposé une escadre de frégates de la sainte couronne d'Espagne de retour des Amériques à une escadre de la couronne d'Angleterre.

Par Francisco Javier Vergara Guillen, Comte de Callosa, Capitaine de Vaisseau.

Par une fin d'après midi du 17 juin 1797, alors que nous étions qu'à 34 nautiques du port du Ferrol, à bord de notre navire Amiral, l'Astrolabio, 5e rang de 40 canons, voguant de conserve grand largue avec une bonne brise venant du NO avec L'Atocha, 40 canons, La Cornelia, 40 canons, La fuerte, 6e rang de 24 canons et la Zafira, de 24 canons ; nous avons vu s'inglant vers nous une escardre Anglaise de 4 frégates de 5e rang totalisant un poids de bordée bien supérieur au notre et constituée de Naïad, 38 canons, navire Amiral, Trent, 38 canons, Mermaid, 32 canons, Jason, 32 canons toutes équipées d'une batterie principale de calibre 18.

La bataille a fait rage pendant 3 heures avant que les Anglais ne se replient avec la nuit. Je tiens à recommander à votre Sainteté les équipages et les officiers de notre escadre qui ont combattu avec courage et détermination, dans l'esprit qui anime notre glorieuse marine Espagnole, particulièrement ceux de la Zafira qui ont repoussé les assauts de la Jason et de la Trent ce qui a évité la perte de toute unité malgré la supériorité Britanique.

Cette rencontre a montré aux Britaniques que leur victoire de févier dernier au cap saint vincent n'est pas le signe d'une faiblesse de notre Marine.

Vous trouverez ci-après des peintures et gravures illustrant cette rencontre.

12 juin 2017 : Une partie d'IMPETUS

Voici le compte-rendu de la bataille du samedi 3 juin 2017, jouée avec les règles Impetus.
L’infâme Duc de Savoie, allié au très félon Duc de Bourgogne, a envoyé une armée par-delà la Saône, pour menacer le gentil Dauphin Charles dans le Berry. Celui-ci a envoyé immédiatement l’ost royal, sous les ordres de Dunois, bâtard d’Orléans, accompagné par Jeanne la Pucelle.
Bill

présentation des armées

L’ost royal est composé de 2 corps :
Le corps principal de Dunois,
Avec 3 unités de chevalerie, un contingent de piquiers écossais, menés par Douglas, et des archers écossais, tiennent le centre. Les chevaliers sont disposés en réserve, avec Dunois et Jeanne, derrière les collines (ces braves chevaliers ont tendance à foncer sans réfléchir sur le premier ennemi visible…)
L’aile droite est composée de troupes légères, notamment des arbalétriers à cheval ainsi que les arbalétriers des bonnes villes d’Orléans et de Lyon. 
Le corps d’arrière garde se trouve à l’aile gauche, avec les écorcheurs dirigé par le Connétable Richemont, composé de quelques chevaliers démontés, et soldats-paysans. Il est en charge de la garde des bagages.
Cette armée est globalement faiblement disciplinée et le corps de Richemont est particulièrement sensible au moral (Richemont (niveau incompétent et lâche) négocie en secret avec toutes les parties pour savoir s’il est temps de changer de camp…). Heureusement Dunois est un capitaine compétent (niveau expert).
En face, l’armée savoyarde est composée d’un corps principal de savoyards, avec les arbalétriers d’élite de Thonon, Rumilly et Bourg en Bresse ainsi que des chevaliers. Elle est sous le commandement du Maréchal de La Palud, Seigneur de Varembon.
L’avant-garde savoyarde occupe l’aile droite avec des mercenaires italiens, avec des troupes légères et de l’infanterie manœuvrable sous la direction du seigneur de Candie, Condottière italien.

1ère phase de la bataille : prise de contact

Les savoyards lancent l’attaque, en avançant en ordre sur toute la ligne, et les royaux envoient leurs troupes légères les affaiblir pendant que les archers écossais se positionnent dans le bois au centre.
Sur l’aile droite des français, les arbalétriers à cheval harcèlent avec efficacité une des deux unités de chevaliers,  qui perd de son allant, et commence à hésiter. 
Mais les troupes légères françaises doivent se replier devant l’avance inexorable du Maréchal de Savoie, qui commande sur cette aile. Dunois envoie les piquiers écossais renforcer cette aile qui parait fortement menacée.
Au centre les arbalétriers savoyards affrontent les archers écossais dans des duels de tirs assez peu meurtriers.
Enfin, sur l’aile gauche, Richemont se porte au devant des troupes italiennes qui progressent, en tentant de les tourner.

2e phase : affrontements sur l’aile gauche et au centre

Les italiens sont les premiers à lancer l’offensive, en manœuvrant habilement les troupes du connétable de France. Les fantassins du seigneur de Candie mène notamment un mouvement tournant audacieux qui fait fuir plusieurs unités d’écorcheurs, avant que Richemont ne se précipite à sa rencontre avec ses chevaliers à pieds. Le choc est brutal, mais les français ont brisé leur formation pour arriver plus vite, et les italiens tiennent parfaitement, encouragés par leur Condottière.
Au centre, si les archers écossais à la lisière de la forêt résistent assez bien aux tirs des pavesiers savoyards, ceux-ci couvent l’arrivée des chevaliers du corps central, qui fondent sur les écossais les moins abrités. Le reste de la chevalerie savoyarde démonte pour pouvoir pénétrer dans le bois et en chasser les écossais.
Sur l’aile droite, les cavaliers légers français continuent de retarder la chevalerie lourde de LaPalud.

3e phase : déroute des ailes, victoire royale

Sur l’aile gauche, le seigneur de Candie l’emporte finalement sur Richemont, qui préfère prendre la fuite pour ne pas être capturé. Ses écorcheurs le suivent bien entendu, et c’est toute l’aile gauche française qui faiblit.
Au centre, si les écossais continuent à tenir le bois, les cavaliers savoyards l’emportement sur les écossais trop exposés. Emportés par leur victoire ces chevaliers s’approchent de la colline derrière laquelle Dunois attend avec la chevalerie lourde française. La charge française est irrésistible aux cris de « Montjoie ! Saint Denis ! »

Les savoyards, déjà éprouvés, sont immédiatement dispersés. La chevalerie française s’ouvre une route pour aller écraser les italiens qui ont triomphés à l’aile gauche.
Sur l’aile droite, le seigneur de LaPalud, confronté à l’arrivée des piquiers écossais, décide de démonter et de faire face. Mais affaiblis par les tirs des arbalétriers d’Orléans, les savoyards voient fondre sur eux des écossais furieux, menés par le seigneur de Douglas. 

Les écossais sont irrésistibles et les chevaliers démontés 
sont écrasés. Le seigneur de LaPalud, blessé, se rend à Douglas. Cette mêlée détermine la bataille :
Les savoyards viennent de perdre à la fois leur aile gauche, leur général en chef, et leur chevalerie lourde, alors que les chevaliers français se préparent à donner toute le mesure de leur valeur frénétique.
C’en est trop pour les alliés du Duc de Bourgogne, qui fuient le champ de bataille. 
Les troupes savoyardes du centre, moins éprouvées que les autres, seront les seules à retraiter en bon ordre.
Dunois l’a emporté, lors d’une victoire qui rappelle la cause du Dauphin est sacrée !!!
Scribe : Bill 

03 juin 2017 : Une rencontre Orques - morts vivants à Mordheim

Une première partie à Mordheim pour moi même et Maximilien et une découverte agréable. Merci à Xavier pour m'avoir conseillé cet essai et à Benoît pour son initiation aux règles.
Une chasse au trésor avec une exploration des décors pour trouver le trésor. Le combat c'est déroulé autour de l'obélisque, dernier décors visité, donc automatiquement avec le trésor ! 
Le chef orque et un héro ont réussi à fuir avec le coffre : 8 PO et une épée ... 

13 Mai 2017 : Une escarmouche autour des ruines ...

Une partie de Saga Héroïc : FB & MB Vs Aiglon

Les éclaireurs avaient bien signalé une bande de Gobelins en Maraudes aux limites de la petite ville minière Naine de Grandrocher.
Nous avons donc rapidement réuni les nains pour aller les repousser.

La Bataille fût rude et les horribles peaux vertes ont finalement vaincues les vaillants nains surpassés par le nombre.

Tournoi de Trollune le 18 septembre 2016 :

Ce petit tournoi en équipe s'est tenu le dimanche 18 septembre à la boutique Trollune à Lyon 7e, organisatrice bienveillante de l'événement.
Sur les 20 joueurs présents, 4 représentaient le club de la Jeune Garde de Lyon, en deux binômes.
Si le père-vampire et le fils-démon ont accroché la 5e place et notre deuxième duo, un peu trop audacieux, la 8e, il faut surtout retenir une fois de plus une ambiance conviviale, des armées magnifiques et une excellente manière de passer un dimanche pluvieux de septembre !

Deux photos en carrousel pour illustrer (Cliquez sur l'imagette).

Auteur : Guillaume "Bill"

Tournoi de l'inter-région les 18 & 19 juin 2016 :

A l'issue d'une sélection rude dans toute la France, 28 équipes de 6 joueurs représentant la plupart des régions françaises se sont affrontées tout un week end (18 et 19 juin 2016) à Valence pour le plus grand plaisir des joueurs et des spectateurs.
L'équipe Rhône-Alpes était composée à moitié des meilleurs tournoyeurs de la Jeune Garde de Lyon, y compris le plus jeune joueur de toute la compétition !
Dans cette très grande salle, 168 joueurs et donc 168 armées, toutes peintes avec talent, offraient un spectacle rare, le tout dans une bonne humeur générale et une ambiance de respect mutuel. Une preuve de plus que notre passion "guerrière" adoucit les mœurs !
Le principe du jeu en équipe qui oblige chacun à faire des choix en fonction des autres membres donne une dimension tactique particulièrement appréciée, tout en renforçant au sein de l'équipe des liens d'amitiés (ou de complicité père-fils dans le cas du duo infernal du Club de la Jeune Garde !).

4 photos en carrousel.

Auteur : Guillaume "Bill".

Article sur le club

La réunion de rentrée avec l'AG, janvier 2013.

Extrait de la PRAVDA – Fin Janvier 1944

Nouvelles du Front d'Ukraine :
« Les forces vives germaniques s'enlisent dans les marais du Pripet ! »
Alors que le front s'était stabilisé depuis plusieurs semaines pour permettre à nos valeureuses troupes de reconstituer leurs forces, l'ennemi a tenté un coup de main désespéré contre nos défenses. Envoyant les restes de ses unités d'élite s'insinuer sournoisement telle la mort rampante entre nos lignes, l'ennemi a tenté de faire taire le juste courroux de nos batteries.
Mais c'était sans compter nos glorieux soldats du peuple. Reconnaissants des efforts consentis par les ouvriers des usines à canons de Kharkov pour produire obusiers et munitions à un rythme effréné, nos soldats se sont mobilisés pour repousser énergiquement les vagues ennemies et sauver ainsi ce matériel si précieux, symbole de la mobilisation du peuple tout entier.
A noter l'action décisive du Komissar Serginovitch, qui a su prendre les décisions énergiques qui s'imposaient et a permis au flanc droit de tenir face aux coups de boutoirs de l'ennemi. Galvanisés par l'exemple et les arguments de cet homme déterminé et à l'inébranlable foi en notre juste cause, nos soldats se sont ressaisis et ont fait un rempart de leurs corps. Bien qu'ayant subi quelques pertes, que le peuple reconnaissant saura combler par de nouvelles recrues souhaitant ardemment se joindre à la Grande Guerre Patriotique, nos fiers soldats ont repoussés les hordes germaniques jusque dans leurs sombres fondrières dont elles n'auraient jamais dû sortir.
Vive le peuple, Vive les Soviets !
Votre envoyé spécial Aiglonovitch

Le 26 mai 2012

Une bonne après-midi comme je les aimes : Une magnifique journée ensoleillée passée à l'intérieur le nez penché sur des figurines !
Cet après-midi, on ne devait pas être nombreux sur cette planète à être resté enfermé.

Retour sur le scénario d'Abbeville :
C'est de l'historique on l'aura bien compris. Et quand Adrien fait de l'historique, il le fait à fond et dans le souci du détail.
Résultat : Des blindés sans obus explosifs contre de l'infanterie d'un côté, et de l'autre des Pak insignifiants et immobiles contre de tournoyantes nuées blindées (bon, "tournoyante", c'est peut-être un peu exagéré pour les chars anglais lents, non fiables et flegmatiques).
Nous assistâmes donc à quelques combats de nains (façon de parler Manu !) dont le plus mémorable fut sans doute une improbable chenillette AMR 33 engluée dans un bocage contre un misérable canon de 37mm enrayé. Titanesque.

Je n'ai rien contre l'historique dans le parfait respect des effectifs réellement présents ce jour là, mais on s'aperçoit vite que les règles de Blitzkrieg ne permettent pas de reproduire toutes les conditions réelles des combats de l'époque. Sinon comment expliquer que les allemands est pu mettre une raclée à la contre-attaque anglo-française ?

Ceci dit, même si j'ai un peu subi, c'était quand même sympa à jouer !

Au fait, un Grand Merci pour Xavier et ses bonnes idées : les décors sont supers.

Aiglon

18 février 2012

Une rencontre Russie-Allemagne en 1944-45 en Prusse Orientale qui c'est soldé par un match nul. L'allemand tenait un village et devait replier certaine troupes avant la fin du scénario et un russe qui devait prendre le village et empêcher la retraite allemande. Cette première photo montre le terrain avec arrivée des russe en bord inférieur et placement caché allemand.

Aile gauche russe avec une compagnie réduite d'infanterie qui vient d'entrer.

Entrée de deux panthers dont un vient de finir sous les coups de l'aviation russe !

Le flanc droit russe avec trois T34-85 et une compagnie réduite d'infanterie. En face, derrière le muret un canon de 50L allemand.

Le centre russe avec 3 T34-76, un Su152 qui viens d'avoir une fin tragique sous les coup du Panzer IV dans le village et une compagnie de la garde sous les coups des troupes de chocs allemandes dans le village.

L'aile gauche russe au complet avec 3 T34-85 et un Su 152. La compagnie d'infanterie a été éprouvé par les tirs venant du village. Le SU 152 a répliqué sur la maison (deux squads) derrière le bunker abritant une HMG.

La compagnie d'infanterie aile gauche se lance à l'assaut du canon.

Assaut réussi sur le canon avec une surprise : des troupes allemandes en embuscade. Mes troupes sont détruites malgré les pertes infligées. Le Stug est parti en fumée.

La prise du village avec retraite des allemands.

Prise du bastion ennemi par les chars du flanc gauche.

Le village est pris à l'exception du bâtiment à droite.

Fin de la bataille avec prise du village par les russes mais une bonne partie des troupes allemandes ont réussi à sortir de la table en bon état.

Le 4 février 2012

Hier, à Neyron, aura vu s'affronter Eric et Adrien en double aveugle du côté de Cagny quelque part en Normandie un 18 juillet 44.
Eric, du côté Teuton, bénéficiait de tout l'avantage d'un scénario pro-allemand (hum??)... et Adrien, jouant anglais pour l'occasion, s'était glissé dans la peau d'un Montgomery dont la fougue légendaire et le besoin d'aller toujours de l'avant lui allait comme un gant.
Eric, notre Teuton, s'appuyait sur une position de Flak 88 installée sous le couvert d'un verger et défendue par une section de pionniers à l'affût dans le village de Cagny tout proche.
Mais il pouvait surtout compter sur le renfort conséquent (au deuxième tour) de quelques éléments de la Schwere Panzer Abteilung 503, à savoir 4 Tigres royaux et un panzer III pour la couverture de flanc.
Avec un tel arsenal, ce scénario avait vraiment tout d'un scénario pro-allemand (hum, hum ?!)....
Face à toutes ces effrayantes bouches à feu, Adrien arrive à chenilles raccourcies à la tête de deux squadron de 5 sherman 76, dont l'un pouvait compter sur l'appréciable appui de deux M4 Firefly.
Une compagnie à deux sections d'infanterie aguerrie accompagne les blindés, dont une section mécanisée et l'autre vient à piat avec deux pieds en son sein (ou l'inverse...).
Comme à son habitude, Adrien envoie trois shermans droit sur la position antichar qui fait partie de ses deux objectifs (le deuxième étant la libération du village de toutes troupes allemandes).
Un Flak88 (par écrasement) et deux shermans sont rapidement hors de combat. Cette tactique semble payante jusqu'à l'arrivée sur le flanc des tankers de deux premiers éléments de la Schwere Pz-Abt.
Rapidement Adrien tente une prise sur le flanc des deux mastodontes avec deux Firefly. Mal lui en pris car le panzer III est bien positionné sur le flanc et est rapidement secondé par les deux autres Tigres. Les Firefly ne font pas le poids mais ont réussi à fixer les Tigres dans leur zone d'arrivée.
Pendant ce temps, les troupes mécanisées, appuyées par les shermans restant ont investi le village et délogent peu à peu les pionniers des maisons dans lesquelles ils s'étaient retranchés.
Sur le flanc, une section d'infanterie anglaise, progressant à l'abri des regards par les bois, surprend un Tigre par un assaut brutal.... mais repoussé avec pertes en raison des défenses rapprochées du mastodonte.
Le temps passe, et sans que l'allemand n'en ai conscience, cela joue contre lui. Alors que deux Tigres progresse vers le village, la dernière maison est finalement vidée de ses occupants, ce qui permet à Adrien d'atteindre son deuxième objectif.
Fin de partie et victoire anglaise.
L'allemand n'a pu détruire que 60% des blindés anglais pour un objectif initial fixé à 80%.
Bel affrontement que j'ai eu le plaisir d'arbitrer.
Historiquement, les conditions ont été à peu près similaires.

Aiglon

Quelques photos prises sur le vif !

Photo 1 : Au club, c'est comme à la DDE : Un qui bosse et trois qui regardent !
Photo 2 : Le Club prend les choses au sérieux lorsque la Pandémie guette le monde.
Photo 3 : Au club, on aime le Père Noël.
Photo 4 : Au club, on aime les hexagones.

  • Aiglon -

Une rencontre amicale - fin 2011.

Un diaporama d'une rencontre amicale en novembre 2011.

La bataille de défense de l'île

Compte rendu de bataille
La grande bataille a eu lieu hier entre les forces du mal et les alliés.
Elle s'est conclus par une victoire des forces du bien qui étaient conduit par le paladin et par la guerrière (Manu et Steph) mais le combat était tendu jusqu'à la dernière minute.
Les alliés avaient organisé leur défense au fond d'un défilé : fossés, piques, palissades ... Les nains sur l'aile droite ancrés dans des rocailles, les humains au centre et les hobbits sur l'aile gauche embusqués dans des bois. L'armée ennemie s'étale sur la plaine qui mène au défilé à l'aube. Après les premières minutes de combat : Une unité de 500 orcs disparaissent dans les bois sous l'embuscade Hobbit, les deux unités humaines d'élite reculent en subissant et en infligeant de lourdes pertes aux unités chaotiques (guerriers du chaos + démons), deux autres unités humaines partent en déroute, une dernière détruit sur place l'unité de géants des collines. Pendant ce temps, les unités de jeune garde naines détruisent une unités orcs, contiennent ou repoussent les unités chaotiques. L'unités de vieille garde naine fait des merveille en repoussant trois unités chaotiques en leur infligeant de très lourdes pertes.
Le centre humain cède, deux unités humaines tiennent toujours l'arrière du flanc nain. L'élite humaine est détruite mais quelques survivants arrive à entraîner les créatures du mal dans les bois. Celles ci ne ressortiront pas, tombant sous les coups (ou les crocs ???) des hobbits.
Une unité chaotique est engagée par les bersekers nains qui la repousse, mais une autre prend la vieille garde de flanc et la repousse de ses retranchements. La défense naine cède du terrain mais reste soudée et en ordre, l'unité de JG qui tient l'aile droite repousse les chaotiques, ce qui galvanise ces combattants.
Une unités chaotique s'engage dans les bois, ils étaient près de 300 et ressortent 55 épuisés et hagards.
Une autre entrera dans les bois presque intacte (un peu moins de 500) et résistera à l'embuscade et poursuivra un combat acharné avec une centaine de combattants, les Hobbits ont reculé. Les survivants de ces héros déclareront que la faim les tiraillaient en ce début d'après midi. Ce combat durera toute l'après midi et s'achèvera par la destruction de la troupe chaotique, une centaine de Hobbits survivront à cette bataille sur les 625 engagés.
Pendant ce temps le combat de l'aile droite se poursuit, les unités chaotiques défaites se regroupent vers leur général et se régénèrent pendant de nombreuses heures. Les derniers humains cèdent vers la fin d'après midi, les nains tiennent toujours les rocailles et se battent avec l'énergie du désespoir : les bersekers repoussent les chaotiques, la VG tient et repousse l'unité ennemie, l'unité de JG victorieuse détruit l'unité chaotique qu'elle tenait depuis plusieurs heures et peut commencer la reconquête de la rocaille.
Un peu avant le couché du soleil les nains sont maîtres des rocailles, les hobbits tiennent les bois, l'unité de plus de 680 chaotique fonce vers la rocaille.
Clint o'neil brise fer, le chef des bersekers redonne du cœur à ses 40 nains au regard de feu, il pointe sa hache ensanglantée vers les dernières troupes chaotiques puis cour en hurlant vers elles suivi de son unité : les 41 derniers combattants de Krom se fondent dans la masse chaotique et périssent en tuant plus de 300 ennemis (4 survivants à moitié mort seront retrouvés sur le champ de bataille baignant dans leur sang et celui de leurs ennemis).
La JG victorieuse, la VG et une dernière JG en lambeau empoignent alors les chaotiques fanatisés par leur chef, la JG victorieuse recule en laissant plus de 400 nains morts, mais les chaotiques trépassent.
La VG est réduite à moins de 50 combattants, les deux unités de JG survivantes moins de 600.
L'armée alliées a vaincu les forces du mal grâce aussi aux actions des héros du groupe qui ont empêché la levée de troupes orcs ou géantes plus importantes et ont levé des troupes Humaines nombreuses et des troupes Hobbits qui ont combattu avec courage.
La première grande offensive des forces du mal sur le continent d'Hérassia a été repoussée.
Chaque survivant (et personnage) gagne 15 500 XP que je vous donnerait au début de la prochaine partie.
Félicitation !

FB

1944 - Passera, passera pas ?

Récupéré sur le forum du club ! - Le 20 février 2011...

Sur les recommandations expresses du General Major des Panzers, HeinzGuderian, l'OKW a finalement décidé de reporter la grande offensive sur le saillant de Koursk à l'hiver 43/44.
Celle-ci a donc été déclenchée dans les premiers jours de février 1944, au plus froid de cet hiver qui rendait ainsi les sols praticables. La première ligne de défense russe a été enfoncée et c'est au tour des lignes arrière d'être maintenant menacées. Les russes tentent de colmater la brèche et font appel à leurs réserves dans l'espoir de monter une contre-attaque.
Côté russe 2200 points de budget, répartis en trois groupes de 450 points minimum. Un groupe est placé en défensive, un autre entre au troisième tour, un dernier au cinquième tour (option de débordement possible).
Côté allemand, 2500 points de budget, dont 1200 maximums en blindés. Parmi de budget, un groupe de 500 points minimum entre au troisième tour.

Telle est la situation en ce début d'après-midi du 19 février et le Bordführer du Panzerkampfwagen ausf E Tiger numéroté « 1331 » est assez confiant dans la suite des évènements. Confiné dans sa tourelle, ne pouvant s'exposer inutilement à d'éventuels snipers ennemis en maraude, il écoute les chuchotements du reste de l'équipage qu'il sent anxieux et impatient. De son côté il repasse inlassablement dans sa tête les plans d'attaque concoctés par le Kommandeur de la Kompanie. La cohésion de la formation au moment du combat est essentielle et chaque engin doit progresser en couvrant son voisin. Les Zugs de Tiger vont jouer un rôle central dans l'offensive prochaine. Leur épais blindage doit leur permettre de s'approcher au plus près des lignes défensives et leur tube de 8,8cm est amène de venir à bout de tout ce qui pourrait se présenter. La tâche s'annonce pourtant ardue. Les reconnaissances aériennes ont laissé entrevoir un dispositif reposant sur des retranchements hérissés de canons antichars, mais la nature et le calibre de ceux-ci nous sont encore inconnus. De plus, le champ de bataille qui s'étend face à eux est loin d'être aussi ouvert que le relief de la Russie peut le laisser supposer. En effet, le théâtre des opérations est entrecoupé de nombreuses petites collines, de vallées et de bois. Certes, ces dénivellations peuvent permettre de s'avancer sans trop s'exposer, mais il est tout aussi simple de les truffer de points d'appui, ce qu'Ivan n'aura pas manquer de faire.
Soudain la radio raisonne dans l'habitacle du « 1331 », l'ordre est arrivé : il faut avancer. C'est au tour du pilote de libérer les 700 chevaux du gros Maybach, et les 56 tonnes du Tiger s'ébranlent pour affronter l'Armée rouge.
Les Tiger sont flans gardés par une compagnie de grenadiers en partie motorisée. Le Bordführer repère une colline et décide de la gravir. Déjà, il reçoit les premiers projectiles de la défense russe, pour l'instant sans gravité. Les flashs des tubes antichars, les célèbres « Ratsch-Boum » comme les appellent les Landsers, permettent de repérer précisément leurs positions malgré qu'ils soient bien dissimulés dans leurs retranchements. Ces canons représentent une menace bien réelle pour les fauves de la ménagerie blindée du Reich, ils devront donc être prioritairement éliminés. L'information est transmise à l'artillerie mobile en appui. Peu de temps après, les miaulements des roquettes et le martèlement des mortiers se font entendre et il est probable que les zones indiquées soient maintenant traitées. Toutefois, il est difficile de se faire une idée précise de la situation. La fumée est maintenant importante, la visibilité est ainsi fortement réduite. L'ordre d'avancer est néanmoins reçu, il ne faut pas perdre de temps. En contrebas de la colline, un bois est tenu par l'infanterie russe et celle-ci tient en échec toute tentative d'avance des grenadiers. C'est donc au tour des semi-chenillés dotés de multitubes de 20mm antiaériens de prendre sous leur feu la lisière du bois. Un dernier canon prend à partie les Tigers, mais pour peu de temps, son canon semble s'être enrayé au vue de l'agitation de ses servants. On peut donc l'ignorer et se diriger vers une deuxième hauteurs qui constitue le premier objectif de la journée. « Achtung T-34 !! » est soudianement hurlé dans l'intercom du blindé. Le tireur a repéré des silhouettes imposantes derrière l'épaisse fumée qui environne l'objectif. Le Bordführer décide de les prendre par le flanc. Le premier Tiger du Zug est malmené et ne fait pas feu. Son canon serait-il lui aussi enrayé ? Il faut rapidement intervenir pour le sortir de ce mauvais pas. C'est au tour des deux autres fauves de bondir sur les flancs des blindés ennemis presque à bout portant. C'est à ce moment que le Bordführer reconnaît non pas des T-34 mais des JS-II au très dangereux tube de 122mm. Qui plus est, ils avaient prévu le mouvement tournant des Tigers et font feu en premier. Un Tiger est touché et prend feu immédiatement. Le Bordfûhrer ne peut que crier « Feuer » et espérer que le tireur aura correctement pointé son objectif. Un bruit terrifiant sonne légèrement le chef de char, mais un coup d'œil lui apprend qu'un des JS-II a explosé. Sans doute un compartiment à munitions a-t-il été touché par le perforant. Comble de chance, le deuxième monstre d'acier russe est foudroyé par un tir d'un autre Zug qui s'est joint à la tuerie. La fête va être belle ce soir au coin du feu, si les walkiries nous en laissent le temps…

Le commandant de la compagnie de grenadiers est inquiet. Il fait parti de deuxième groupe d'assaut et doit progresser à découvert puis gravir une colline sans véritablement savoir ce qui l'attend derrière. De plus, il ne dispose que d'un seul semi-chenillé pour toute la compagnie, qu'il a réservé pour mettre la MG-42 en batterie.
Il a confiance en ses hommes. Ils sont aguerris, ont l'expérience du front et plusieurs d'entre eux arborent déjà fièrement la croix de fer. Il sait qu'il peut compter sur eux et sur leur qualité qui en font des troupes d'élite.
La progression à découvert s'est passée sans encombre, il faut croire que les blindés du premier groupe d'assaut ont fait le ménage. En regardant dans le ciel, le commandant remarque aussi que les Stukas tournent dans en rond tels des rapaces prêts à fondre sur leurs victimes. Avec ces ailes dans le ciel, Ivan n'a qu'à bien se tenir !
La colline est atteinte, mais les éclaireurs signalent une construction épargnée par nos tirs et tenue par les russes. Cela n'augure rien de bon. Le commandant a appris avec les années que le Frontovik sait se battre et, même si son commandement n'est pas toujours à la hauteur, son opiniâtreté et son courage en font un adversaire dangereux. Ainsi, le semi-chenillé est envoyé se mettre en position tandis que les hommes se préparent à passer la crête. Des échanges de tirs ont lieu et le commandement apprend que les servants de la MG-42 ont été atteints malgré la protection offerte par le blindage du semi-chenillé. L'affaire va être corsée. Le commandant décide de séparer sa compagnie en deux sections. L'une va battre de son feu la maison, tandis que la deuxième prendra d'assaut le bâtiment. Cette tactique est dangereuse sans autre appui feu, mais il faut avancer. La première section ouvre le feu et subit elle-même quelques pertes. La deuxième section profite de l'occasion pour bondir et entrer en contact avec les occupants de l'habitation. Le corps à corps est meurtrier mais heureusement, les tirs précédents ont bien élimés la détermination des russes qui finissent par succomber. La maison est prise !
Pendant que ses hommes soufflent et pansent leurs plaies, le commandant regarde déjà à la jumelle ses prochains objectifs : un retranchement occupé par une mitrailleuse russe, à la lisière d'un bois, qui tient sous son feu toute la zone, et un moulin particulièrement bien fortifié de l'autre côté. Après avoir poussé un long soupir, le commandant se tourne vers ses hommes et leur expose la situation. Beaucoup n'en reviendront pas….

Bilan de la journée (8 tours):
Un objectif pris par les allemands et un toujours tenu par les russes.
1890 points de perte du côté russe contre 310 côté allemand.

Aiglon, votre envoyé spécial là ou il fait chaud

Diaporama d'une journée de rencontre

Le diaporama d'une journée de rencontre entre notre club et celui de Tassin.

Prise de Sainte mère l'Eglise

Une partie épique de Blitzkrieg entre deux compagnies de parachutistes américain et une compagnie d'infanterie nazi renforcée par une compagnie, un stug III et un puma.

Le parachutage nous a dispersé à travers la zone de largage et nous avons dû nous rassembler avant de lancer l'assaut sur le village en profitant de la nuit pluvieuse.

Après la prise des premières maisons, un jour blafard c'est levé avec la contre attaque allemande qui a permis au nazi qui avait conservé une seule maison d'en reprendre une autre. La demie compagnie qui tenait le pont a lancer une contre attaque sur le village simultanément.

Après une vaillante résistance, nous avons réussit à éliminer une bonne partie des troupes ennemies mais les blindés étaient toujours là et actif. Après un assaut blindé sur un mortier et sur une mitrailleuse, les véhicules se sont attaqués au pont, l'un d'eux fut détruit lors de cet assaut.

La pluie ayant cessée, trois P47 équipés de roquettes ont attaqué et détruit le stug survivant. Les allemands restant ont finalement retraité en nous laissant le terrain.

Le 05 février 2011 - FB

Samedi 30 Octobre 2010, par une journée triste à pleurer...

Profitant de ce temps maussade et gris, plus de seize personnes (pas moins de trois clubs représentés !) se sont réunis afin de s'affronter essentiellement à Warhammer Battle. On sent bien que l'approche du Tournoi du Nain Grognon est source de séances d'entrainements. Ainsi, cinq tables ont été dressées pour supporter les galops effrénés et le martellement des chausses de fers.

Aiglon

30 octobre : Bataille de Kasserine

Bien loin de ce brouhaha, une unique table rassemblait les joueurs de Blitzkrieg. Il était question de reproduire la bataille de la passe de Kasserine en février 43 en Tunisie. Cette bataille voyait s'affronter les derniers éléments de la DAK (Deutches Afrika Korps) aux nouvelles recrues américaines fraichement débarquées au Maroc. Historiquement, les forces américaines avaient subi une cuisante et mortelle défaite. Mais lors de la reconstitution, il en fut tout autre. Bien retranchés, les Assault Engineers ont attendu assez sereinement, malgré leur moral hésitant, les troupes à pied allemandes. Celles-ci, bien mal soutenues, ont subi de lourdes pertes, bien qu'ayant finalement atteint leurs objectifs. De côté des blindés, une manœuvre hardi des allemands, à travers les collines escarpées, a permis d'obtenir des succès initiaux mais s'est avérée couteuse en matériel enlisés. Pour finir, la reconstitution s'est soldée par une véritable boucherie en homme comme en matériel. Bien décevant pour l'Afrika Korps légendaire...
A noter, la participation d'un arbitre en la personne d'Eric, l'elfe des forêts de Tennessee, qui restera aux yeux de tous, le chantre de l'indépendance, l'exemple même de l'objectivité, l'égérie de le neutralité. Merci à lui.

Aiglon

Voici donc le match du Samedi !! Une rencontre très attendu des confins du Caucase aux rivages de l'Atlantique :
- à ma droite, un challenger aussi vaillant qu'inexpérimenté, Bill Stark, précédé par sa réputation de mangeurs de hot-dogs, qui lui a valu le surnom d'ogre du Tennessee. Espérons que ses nombreuses victoires dans les concours de plus gros mangeur du Far-West (ainsi que les conseils du très flegmatique et très britannique Francis Gore) lui permettront de trouver les moyens de faire tenir sa bleusaille ricaine !

  • à ma gauche, les vétérans du ring (non, pas celui de Wagner !), l'ignoble Olivier Bülowius, dit le massacreur de Poméranie, escorté de son non moins sadique comparse, Immanuel Rissmeyer, Bavarois grand amateur de bières et de girondes Mädchen !! Sauront-ils être digne de leurs nombreuses victoires africaines ?

Eric, qui commence à dériver dangeureusement dans son scénario historique.

Samedi 16 Octobre 2010

Affrontement majeur dans l'isthme de Carélie aux portes de Leningrad avec les règles Blitzkrieg.
Des budgets colossaux (5500 points de part et d'autre), quatre joueurs, un arbitre, un grande surface de jeu jonchée de nombreux reliefs et forêts et des options tactiques à choisir.
A retenir (dans le désordre) du déroulé des opérations :
- côté allemand, on note une offensive courageuse et téméraire de panzers III face aux redoutables KV1, l'efficacité des marders, un déluge de feu (mortiers et FW 190) sur l'infanterie russe
- côté russe, des hordes de T34 un peu trop hésitante, des batteries antichars russes qui ne parviennent pas à se déployer, un appui aérien qui ne répond pas,
Résultat :
17 points d'objectifs côté allemand, contre 2 pour les russes,
1155 points de pertes côté allemand, contre 2080 côté russe,
A noter que les allemands n'ont pas fait entrer leurs renforts (1560 points)...
La route de Leningrad est ouverte, son siège va pouvoir commencer !

Aiglon

Deuxième bataille du saillant de Koursk

Rapport de bataille du 21 juillet 1943 (18 septembre 2010)
Secteur du saillant de Koursk
Destinataire : Stavka
Confidentialité : Restreinte

Le camarade Aiglonovitch est complètement débordé. Il n'arrive plus à gérer efficacement ses troupes au milieu du bruit assourdissant des combats, des explosions et du ronflement des moteurs poussés à plein régime. Ses pensées sont sans cesse bousculées et éparpillées dès que tonne le terrible 88mm long des blindés adverses.
Aiglonovitch ne comprends pas non plus. Il a participé, il y a à peine quelques jours aux combats de la première ligne de défense du saillant de Koursk ; il a vue ses soldats résister vaillamment face à l'avancée ennemie au point de la ralentir considérablement ; et bien que le périmètre ne fut finalement plus tenable et qu'il a fallu se regrouper sur la deuxième ligne, il pensait que l'on entendrait plus parler des allemands pendant quelques temps ! Il n'en est rien. Ils sont revenus, aussi fortement appuyés par leurs terribles blindés !!
Mais cette fois-ci, la deuxième ligne est mieux préparée. Des pré-réglages d'artillerie ont été effectués, des môles de résistance truffés de canons antichars ont été installés, des vagues de T34 se tiennent prêtes à engager les blindés ennemis imprudents.
Et pourtant... pourtant, au beau milieu de l'engagement, c'est le chaos ! Les T34 explosent de toutes parts, les canons antichars sont méticuleusement détruit par l'aviation ou par des tirs de panzers d'une précision frisant l'indécence.... et l'Allemand avance inexorablement. Mais, mince consolation, ses pertes sont importantes aussi de son côté. Et elles pèseront lourdement sur la suite du conflit.
C'est ça la solution !! exulte soudainement notre valeureux camarade : User progressivement les capacités offensives allemandes. Le Reich ne pourra pas indéfiniment combler les pertes et remplacer le matériel, alors que la mère patrie, elle, est inépuisable !
Reprenant courage, le camarade Aiglonovitch, jeune officier ambitieux, sort son révolver de son étui de cuir, le brandi haut vers le ciel et s'élance à la tête de ses hommes à l'assaut d'un char étourdi passant tout près de sa position.

Le capitaine Aiglonovitch recevra la médaille de l'ordre de la patrie (à titre posthume), ainsi que les servants d'une mitrailleuse Maxim pour avoir pris à parti et mis hors de combat un Tigre.

Bilan des pertes au bout des huit tours prévus :
Pertes russes : 8 T34, 3 JS-I, 5 canons anti-chars, 3 mortiers et environ une section d'infanterie.
Pertes allemandes : 3 Tigres, 3 Panther, 1 Panzer IV, 4 Sd.Kfz 251/1, I nebelwerfer 41 et l'équivalent d'une compagnie d'infanterie environ.
Un objectif atteint mais non conquis.

Aiglon

Bataille du saillant de Koursk

Rapport de bataille de l'Oberlieutnants Von Adrian

Au matin du 18 juillet 1943 les oberlieutnants von françois et von adrian espèrent bien percer le front Est à Koursk afin d'obtenir la victoire face à l'ennemie slave et ainsi conquérir l'espace vitale au peuple allemand et aussi un départ pour la France et Paris (Ach Paris!).
Ils sont fiers d'être au ordre du général Guderian grand vainqueur de la campagne de France et d'avoir à leur disposition les tous derniers chars Panther,Tiger et Elephant dernièrement sortis des usines du Reich.
Les forces sont scindés en deux groupes afin d'encerclé l'ogre Bolchévick.
Von françois dispose des lourds Elephants et des terribles panthers ainsi que d'un tous nouveau Nebelwerfer 41, sa compagnie de panzer grenadier s'est installé dans les Sd.Kfz 251/1 mis a leur disposition et deux menaçants Stuka plane dans le ciel tel des vautours cherchant leurs proies.
Von adrian à quant à lui 6 terrifiants Tiger I ainsi que 3 panzers IV et sa compagnie de panzer grenadier s'est également installé dans les Sd.Kfz 251/1.
La terrible tenaille est en place et les ogres Bolchévicks ne pourront sûrement pas tenir longtemps face à la puissances de feu des monstrueux panzers et à la haine que leur vouent la nation germanique qui bientôt feras main basse sur les fertiles plaines Russes et sur les champs pétrolifère qui leur reviennent de droit et que les Russes gardent si jalousement.

Malheureusement les tous nouveaux Panther et Tiger peinent à avancer même s'ils éliminent les T34 et les JSI qui leurs font face et les diables rouges ne font qu'une bouchée des panzers grenadiers qui s'étaient égarés dans un bois. Seuls les Stuckas se distinguent en anéantissant les batteries antichars installés par l'ennemi soviétique.
Paris semble bien loin et les deux oberlieutnants sentent qu'ils vont rester encore longtemps dans l'infernale et impitoyable plaine Russe ou le sort du monde se joue.

Oberlieutnant Von Adrian

Bataille du saillant de Koursk

Rapport de bataille au matin du 18 juillet 1943
Secteur du saillant de Koursk
Destinataire : Stavka
Confidentialité : Restreinte

Situation initiale du front :
Offensive allemande composée d'une section de 3 Elephants, une de 3 Panthers, deux de 3 Tigres, une de 3 panzers IV ausf J, 2 compagnies de panzer-grenadiers réduites à deux sections avec mortier de 81mm, 7 Sd.Kfz 251/1, 1 Sd.Kfz 251 Nebelwerfer 41 et enfin 1 appui aérien (Ju 87 D Stuka). Budget de 4375 points.
Dispositif russe en défensif et caché, composé de trois sections de 3 T34-76B, une section de 3 JS-I, 3 canons anti-chars de 57mm LL, 3 canons anti-chars de 76mm L, 2 compagnies de fusiliers réduites à deux sections avec commissaire politique, mortiers légers et cocktails molotov, 1 mortier lourd, 1 Katyusha 41 et 7 zones de mines anti-chars. Budget de 3300 points.

Le camarade Aiglonovitch se tient droit dans ses bottes sur le sommet de la colline. Il regarde, la gorge serrée, arriver dans un nuage de poussière, les deux vagues d'assaut allemandes.
Les évènements vont rapidement s'accélérer. Les émotions se bousculent dans sa tête. Il repense à sa récente promotion au grade d'officier en charge d'un secteur important du saillant de Koursk. Il se remémore l'ensemble des préparatifs mis en place ces derniers jours, dans la précipitation, afin de déjouer l'offensive allemande annoncée. Il a une pensée reconnaissante envers les services de renseignements de la Stavka qui ont prévu le lieu et la date exacte de l'offensive. Il espère avoir fait tout son possible pour remplir sa mission : Bloquer, avec ses maigres moyens, l'avancée allemande dans son secteur, le plus longtemps possible, jusqu'à l'arrivée des renforts promis.
Ce jeune officier, gavé de propagande, prêt à donner sa vie et celles de ses hommes pour la patrie, a choisi d'appliquer la tactique du bouclier et de l'épée. Le bouclier sera constitué de nids de canons anti-chars protégés par des champs de mines. L'épée, en contre-attaque de chars sur les flancs. Enfin, l'artillerie et les mortiers seront chargés d'assommer toute résistance.
A la vision de ce qui s'approche à grands bruits de sa position, l'officier doute de son dispositif et regrette amèrement de n'avoir pu disposer des tout nouveaux "tueurs de bêtes", les SU152 dont un ami travaillant dans les usines de Moscou lui a parlé récemment. Grâce à leur obusier de 152mm, ils auraient été à même de détruire la ménagerie blindée des Tigres et des Panthers.
Le doute. Le doute le taraude. A t-il laissé des faiblesses dans son dispositif ?

Ce qu'il ne sait pas encore et qu'il va apprendre à ses dépends :
- c'est la redoutable efficacité des 75 et 88mm LL des Panthers et des Elephants qui vont anéantir ses contre-attaques de T-34,
- c'est la pénurie de munitions qui va toucher ses Katyusha,
- c'est l'oubli des pré-réglages d'artillerie,
- c'est le mauvais placement de ses mortiers légers qui ne pourront tirer sur les colonnes allemandes hors de leur portée,
- c'est la précision des attaques des Stukas adverses qui vont réduire au silence ses nids de canons anti-chars.

Heureusement, les blindés allemands vont progresser très doucement. Le camarade Aiglonovitch se laissera presque aller à un sentiment de fierté à l'idée que son dispositif défensif puisse à ce point impressionner les colonnes allemandes. Les conquérants de l'Europe avancent avec grande précaution, dans la crainte. Aiglonovitch se voit déjà promu au plus hautes places, peut-être même à la droite du petit père des peuples !

Bilan des pertes au bout des huit tours prévus :
Pertes russes : 8 T34, 3 JS-I, 4 canons anti-chars et 2 MMG soit environ 2265 points
Pertes allemandes : 1 Elephant, 1 Panther, 3 Sd.Kfz 251/1 et l'équivalent d'une compagnie (hors mortier) soit environ 895 points.

Aiglonovitch

Rencontre Belgique 1940 - Anglais contre Allemand

13 mai 1940

Les premiers éléments de la 3ème panzer division et de la 20ème division d'infanterie allemande entrent en contact pour la première fois avec les troupes alliés.
La rencontre a lieu dans un petit village belge et ce sont à de puissants blindés surprotégés que se frottent les soldats de la Wehrmacht.
Accrochant l'infanterie anglaise dans les faubourgs du village, les Panzers II se font allumer un par un par les Mathilda II. Un Panzer III à l'affût (le plus gros panzer disponible) tente de leur apporter son soutien, mais il voit ses obus ricocher en vain sur l'épais blindage. Des Crusader apparaissant, il n'ose s'approcher plus et se sent complètement dépassé.
Le support aérien ne vient pas. Très sollicité, il est occupé à protéger d'autres colonnes s'enfonçant au coeur de la Belgique.
Sans possibilité de détruire les monstres d'acier anglais, l'officier supérieur allemand enrage.
Son infanterie tente bien, par une action éclair, de prendre possession du centre du village, mais que pourra t-elle dans la durée face aux chars alliés ?
Il lui faut un canon antichar puissant, capable de de venir à bout de ces lents mais redoutables blindés.... Et le canon antiaérien de 88mm des troupes de réserve ? Pourrait il jouer ce rôle ?
L'untersturmführer jubile. La voilà l'idée ! Vite, il faut proposer cette solution au QG avant que l'on ne subisse trop de perte !
Encore une fois, face aux difficultés du terrain, l'armée allemande fera preuve de tout son génie pour s'adapter aux conditions et finalement l'emporter.
Messieurs les anglais, n'ayez crainte, la partie n'est que remise !!

Aiglon, reporter en terre wallone

  • Ordre de bataille Allemand :

Une compagnie de grenadiers à trois sections dont deux à quatre groupes de combat. Une de ces sections est considérée comme de l''élite. Soit 12 groupes de combat.
Une MMG supplémentaire ainsi qu'un mortier de 50mm.
Trois SdKfz 251 de transport de troupes avec MG AA.
Trois panzers II et un panzer III

Pertes à la fin du sixième tour :
Le panzer III, deux panzers II, plus un devant quitter le jeu au prochain ralliement faute de cohésion suffisante.
Un SdKfz et 5 groupes de combat dont un chef de section et un d'élite.

Objectif tenu : La colline ennemie (20 points)
Objectif perdu : La forêt

  • Ordre de bataille Anglais :

Une compagnie d'infanterie de ligne, une MMG, un mortier de 60 mm et deux Fusils ATR.
Une HMG supplémentaire.
Deux Mathilda II
Deux Crusader I
Un Mk IV
Deux motos side car

Pertes anglaises 6e tour :
Un ATR, le chef de compagnie, un chef de section et deux sections.
Le Mk IV.

Un compte rendu de tournoi WARHAMMER BATTLE ! A Barcarès

Je suis allé ce w-e 22 et 23 mai au tournoi de Barcarès: Tournoi avec personnages nommés et restrictions sur la magie.

J'ai une armée comte vampire sur le thème invocations de goules + 2 gros paquets de chevaliers noirs soutenu par quelques spectres pour faire le trou pendant que mes goules engluent l'adversaire. j'ai un paquet de chevaliers noirs avec caparaçons, bannière de guerre, grande bannière et Manfred qui rajoute 1 à la résolution; un paquet dur à déboulonner.

Partie 1:

Je me retrouve contre Michel, un sympathique Toulousain qui joue de l'elfe noir. Il a un général sur dragon et 2 hydres. c'est déjà du lourd mais il a aussi un paquet de 19 ombres dans lequel il mettra 3 assassins, une sorcière et sa grande bannière. Un paquet vraiment difficile à prendre.
Je me place en coin. Mon infanterie avance vers le centre et ma cavalerie sur l'aile. A son tour, il est à portée de charge sur mon paquet de chevaliers noirs; il hésite et jette ces 2 hydres et son dragon sur mon unité. Il tue 4 cavaliers noirs dont le champion. Le roi revenant et Manfred ripostent; une hydre prend 2 blessures. Grâce à la grosse résolution de combat de mon unité, une hydre s'enfuit. Elle sera poursuivie par des zombies jusqu'à sa sortie de table. Le reste tient mais c'est mon tour : mon autre paquet de chevaliers noirs charge de flanc l'hydre restante autant dire que pour l'hydre et le dragon, c'est le drame.
Ma magie regonfle les paquets qui ont souffert du fait des tirs meurtriers et du combat. Son dragon s'enfuit mais à son tour il le récupère; une bonne cible de flanc pour mes goules. Son paquet d'ombre m'a pulvérisé un paquet de goule; il faut que je m'en occupe avant qu'il me prenne toute mon infanterie. Je le charge avec mes spectres qui entre temps ont décimé les 10 pauvres gardes noirs. Avec mon dernier paquet de goules je prends le flanc: 9 morts dont la sorcière et un assassin: fuite des ombres. Michel résistera jusqu'au dernier tour; victoire majeure.

Partie 2:

Je joue contre Christophe. Il a une armée naine full tir comme j'ai l'habitude d'affronter à Neyron. Je me dis que ça va être compliqué. Heureusement pour moi, il se déploie sur toute la longueur de la table ce qui me permettra de l'attaquer de flanc sans prendre trop de tirs. Et c'est exactement ce qui se passe. En plus, il n'a pas de chance, Torek explose au 2ème tour. ce qui me permettra de faire un massacre; chez nos amis du sud : c'est plus une figurine adverse sur la table.

Partie 3:

Je joue contre Guillaume un joueur du moot contre qui j'ai joué plusieurs fois. Il joue une armée ko avec un gros pâté qui lance des éclairs et vaut 605pts (je ne me souviens plus du nom!!) Du fait du scénario on se déploie en diagonale : ça change, c'est sympa. Il y a 2 maisons au milieu du terrain, j'avance mes chevaliers noirs par la gauche; je cache mes spectres dans le bois derrière la maison pour ne pas prendre d'éclairs dans la tête et je tiens entre les 2 maisons avec mon infanterie. Lui avance aussi; en face de mes cavaliers; des chiens, un enfant du ko et sa cavalerie légère soutenus par 3 dragons ogres. Au centre, ses chevaliers et à droite un paquet d'infanterie, des chiens, un enfant du ko et 3 dragons ogres. Sur la droite, je charge les chiens avec mon paquet léger de chevaliers noirs; ceci pour pouvoir percuter de flanc sa cavalerie légère; ça marche très bien sauf que j'avais oublié que je ne pouvais pas faire 2 poursuites dans le même tour donc ses dragons ogres me chargent et me pulvérisent mon paquet. Il charge mon gros paquet de chevaliers noirs avec un enfant du ko qui me bloquera plus de 2 tours. Finalement sur cette aile il ne restera que les do et 2 cavaliers légers face à mon paquet de chevaliers. Au centre, les spectres chargent les chevaliers du ko du flanc; il suffit d'en tuer un pour pouvoir gagner le combat; hélas; il réussi 3 sauvegardes à 3+. Il gagne et se retourne; heureusement mes spectres tapent en premiers; merci la charrette. Ils font 7 blessures; hélas encore, il réussit encore 7 sauvegardes à 3+. Mes spectres disparaissent : comme dirait certains joueurs; c'est le jeu ma pauvre Lucette ! De nouveau, je tente une charge de flanc avec mes goules à plus de 20. Cette fois c'est la bonne : il fuit; mais il reviendra. Pendant ce temps mon général à l'arme lourde avec mon dernier paquet de goules nettoie les dragons ogres. Son Général avance au centre et m'écrase mes goules et ses chevaliers chargent mon général. Mon paquet explose, il ne reste que mon général avec 1pv mais sa magie est puissante; il se refait une santé et utilise la danse macabre pour taper en premier haineusement. Il finira par exterminer ses chevaliers qui auraient dû disparaître au 2ème ou 3ème tour.
C'est finalement un match nul; une partie difficile où les 2 joueurs ne sont pas satisfaits du résultat; mais nous nous sommes promis une revanche dans mon garage!!.

Partie 4:

Je joue contre Jordi et des....comtes vampires. Une partie miroir pour la magie, mais il n'a que de l'infanterie sauf 4 chevaliers de sang. Dès le début je mets la pression en avançant mes chevaliers noirs sur mon aile droite. Ceci dans le but de l'occuper pour essayer de le tourner par la gauche et c'est ce qui se passe. J'avance mon infanterie par la gauche mais c'est les spectres qui feront le boulot : cri sur les nées; 9pv de moins puis attaque sur des paquets d'infanteries de flancs; 1 tours par paquets; 2 paquets de zombies, 1 de squelette et la charrette disparaîtront sous les assauts de mes spectres. Voyant cela il charge mon paquet de chevaliers noirs légers qui n'a fait que reculer. Il l'attaque avec 2 héros et ses loups de sang. Les héros ne font pas assez de dégâts et je tue 3 loups : le résultat de combat est contre lui il perdra le tout. Il finira mes chevaliers grâce à ses chevaliers de sang mais la partie est finie; victoire majeure.

Partie 5:

PROTCHHHHHHHHHHHHH

Je joue contre Laurent et son accent chantant. Face à moi une armée démon pure corps à corps. Il commence, avance à fond et sirène mes spectres qui se font ouvrir en 2 par ces démonettes montées. Il me présente son bubu de flanc, j'ai une résolution de 7. Je gagne forcément de 1 sauf qu'il est tenace à 9; il me scotche, c'en est fini de mes cavaliers. SEUL point positif, j'arrive à choper sa grande bannière avec mes autres chevaliers mais ça ne suffira pas.
J'abandonne à la fin du 2ème tour car c'est son tour de jouer. Il peut me prendre de flanc mes cavaliers noirs; il peut charger mon général alors que les goules ne sont que 10 et me sirène mes chauves souris pour qu'elles ne puissent pas le gêner. Massacre pour lui.

Ce fut un bon tournoi, avec que des gens agréables. L'organisation était très réussie. On a pu manger chaud les 2 jours; petit dej et hôtel offert. Finalement une troisième place qui me satisfait amplement.

A bientôt.

Xav

Une rencontre en hiver 1944 - le 15 mai 2010

Une offensive Allemande dans une région montagneuse contre une force Franco-Anglaise. Une bataille avec les règles de blitzkrieg.

L'ordre de bataille Allié :

  • Anglais :

Une compagnie d'infanterie avec mortier et 2 PIATs. (1/3 de pertes)
Deux archers (détruits)
Un canon de 17 pounders. (détruit)

  • Français :

Une compagnie Indigène avec 2 bazookas et une MMG supplémentaire.
Quatre M10 Woverine (trois détruits)
Un canon de 57L. (détruit)

L'ordre de bataille Allemand :

Une compagnie de panzer grenadiers avec leurs véhicules.
Deux véhicules de reco (détruits)
Trois chars Hetzers
Deux pelotons de quatre chars Panthers. (2 détruits)

Conclusion de la partie :

Les Allemands concluent la partie par une victoire marginale.

Voir la carte du placement  :

Récit de bataille

Avec les autres gars de la 29e brigade blindée britannique ont à été mis au repos au nord-ouest du secteur ardennais, près de Dinant pour les fêtes de noël. Un secteur calme …
Notre camp est installé dans les bois, deux chasseurs de chars Archers sont postés sur la colline en arrière et un canon de 17 pounders est en appuie feu dans un petit bois en arrière du dispositif. Une compagnie indigène Française est au repos de l'autre côté d'une colline. La présence de deux de leurs wolverine nous rassure sur notre flanc. Le 16 décembre nous avons eu des rapports incohérents et incomplet d'une offensive nazi dans les Ardennes ! Depuis, leur progression semble impossible a arrêter.

Il est 13h, le 24 décembre, le bruit de chenilles s'intensifie. Soudain deux SdKfz 250 passent à toute allure devant les bois, l'un s'écarte et monte sur la colline nous séparant des Français, l'autre longe les bois au risque de nous voir. Le Sergent O'connors tire avec son PIAT et rate sa cible !
Quatre Panzer V panther arrivent et sont suivis de 4 SdKfz 251 transport de troupes, quatre autres Panther montent sur la colline devant nous.

Les panthers s'arrêtent et débarquent des troupes montées qui cherchent à nous prendre d'assaut dans les bois, les fous. Ils ne savent pas ce qui les attends … Nous ouvrons un feu nourris sur eux pendant que les deux archers ouvrent le feu : les trois squad ennemis sont détruits, les deux archers ont ratés leur tir. Les deux M10 sur la colline détruisent les deux véhicules de reconnaissance. Trois squad quittent les panthers de la colline pour foncer vers la forêt.

Les feux de réplique sont violents. Nos véhicules explosent et nous retraitons au cœur de la forêt sous les feux des SdKfz251 et de leurs squads. Après un second échange de tir, les deux autres chars alliés sont détruits.

Les nazi continuent leur chemin, un tir du 17 pounders immobilise un panther près de la forêt, les allemands foncent vers la colline. Un M10 ouvre le feu de côté, touche le char de tête mais sans résultat. Après un temps nous détruisons le panther immobilisé avec le PIAT, les allemands répliquent en détruisant le M10. Nous subissons le tir des Hetzers qui sont sur le flanc de la forêt.

Un panther supplémentaire est détruit par le 17 pounder de flanc en décente de colline. Un SdKfz251 est détruit par le canon AC de 57L avant d'avoir le temps de décharger son squad. Deux autres véhicules lancent un assaut sur les deux canons. Le M10 sur la colline tire et rate sa cible. Pendant ce temps, les français lancent un assaut sur les trois squads allemands dans la forêt et les détruisent.

Après destruction des canons, les nazis quittent le champ de bataille. Nous apprenons qu'ils ont été stoppés avant Dinant.

Auteur : FB

La Wehrmarcht est passée !!!

La Wehrmarcht est passée !!! titrait ce matin la propagande du Reich dans les rues de Berlin.
En effet, cet hiver 44 aura vu une puissante offensive des troupes allemandes à travers les Ardennes. Face à eux, des troupes anglo-indigènes, figées de peur par le rugissement des Panthers, tentèrent vainement de stopper cette avance irrésistible.

Photo numéro 1 : l'arbitre

Les acteurs de cet évènement :
L'arbitre tout d'abord, Bill [voir notre 1ère photo] qui garda la tête froide, ronde et sur ses épaules malgrès les incessantes sollicitations des belligérants,
Les alliés ensuite, représentés par Sir François, dont le flegme insulaire légendaire a été mis à rude épreuve face à ses jets de dés désastreux et qui défiaient les lois de la probabilité, et Adrien qui n'en démords toujours pas de ces indigènes : le "choc" il n'y a que ça de vrai !!...les panzers grenadiers en tremblent encore.
Les allemands enfin, avec Serge, aussi soigneux avec ses Panthers qu'avec de la vaisselle en porcelaine... manque de chance, c'est sa section qui a essuyé la quasi totalité des tirs [2ème photo] ; et avec votre reporter, claquemuré dans son Hetzer (très bon choix au demeurant) et qui n'a pas pu voir grand chose des hostilités sur les autres tables, trop occupé à éviter les projectiles à charge creuse.

Moral de cette histoire :
Le "choc" ça dépote,
Le 75 long, ça le fait bien,
La charge creuse est une valeur sûre,
Le p'tit Hetzer paie pas de mine, mais assure comme un grand.

Photo numéro 2 : les véhicules de serge

Document rare d'une autre époque, d'une autre table : Alerté par le galop des destriers de brettoniens déchainés, qui a résonné jusqu'au sein des forêts ardennaises, votre reporter a pu prendre sur le vif les prémices d'une charge dévastratrice [3ème photo].

Aiglon

Votre envoyé spécial dans les Ardennes - Hiver 44

Photo numéro 3 : les Bretonniens

Le premier mai 2010

Bien bel après-midi ce jour !!

D'étranges manifs ont été organisées pour ce 1er mai du côté de Neyron...

Il y a eu du "fight" à Warhammer Battle entre six joueurs qui poussaient de grands cris ou psalmodiaient d'étranges incantations. J'ai cru entendre parmi celles-ci : "unnnsiiixxunnnnsiiixxuuunnsiiiix !". Sans doute une prière au Dieu du 6 faces...
Au milieu de la mêlée, notre envoyé spécial a rencontré une Jeanne (d'Arc ?) revêtue de ses plus beaux atours (voir notre documentaire photo).

De l'autre côté de la salle, Adrien et votre reporter, beaucoup plus posés, échangeaient leurs points de vue à coup de 75mm.
Après une rencontre douloureuse pour des panzers-grenadiers face à une légion étrangère survoltée, une deuxième partie à vue s'affronter une nuée de petits chenillés allemands bourdonnant tels de piquantes abeilles autour des gros "bourdons" B1 français.

Aiglon, votre envoyé spécial à Neyron.

(Photo : Jeanne - cliquez pour agrandir)

Félicitation au reporter, qui a pris de grands risques pour ramener cette image d'un champ de bataille où les forces de la Jeune Garde se faisaient sauvagement piétiner par le niveau tassinois... L'image montre d'ailleurs Jeanne, la vierge duchesse de Lyonnesse, qui s'apprête ici à s'essuyer les pieds sur de pauvres morts vivants qui n'en demandaient pas tant ! Pour résumer notre partie (Xavier, Corentin et la serpillière qui écrit ces quelques lignes), notre aile droite a craqué en premier par la seule présence d'un Buveur de Sang ! L'aile gauche n'a pas tenu bien longtemps, prise entre les charges bretonniennes et les tirs d'un trébuchet déchaîné... Le centre les a très vite rejoint, craquant au tour quatre, même si nous y avons chèrement vendu notre peau grâce à une offensive fulgurante (ah le concept du bois autobus, qui traverse la table au tour un !) qui a bien affaibli notre adversaire comte-vampire.

Éric, la serpillière sylvaine qui vous salue bien.

(Photo : quelques chars dans une partie de Blitzkrieg